Le lieu-dit : La liampre dans le quartier du bas rives est décrite par le président de la société de pêche, comme « un lieu de la pollution de la Fure » des détritus en tous genres comme des déchets verts issus des tailles de haies voisines, ou bien plus grave encore, d’autres parfois amiantés comme des piles de fibrociment abandonnées sur les berges, risquent de créer des embâcles dangereux et polluent la rivière. Depuis plusieurs années nous n’intervenons plus ici car l’origine de la pollution est œuvre des riverains en premier lieu, et l’entretien nécessiterait la présence d’engins car le lit de la Fure est très encaissé. L’obligation légale du respect de l’espace public sous peine de sanction ne suffit pas à freiner ces agissements.
De nombreux promeneurs viennent actuellement marcher ou jogger en cet endroit, sans doute pour sortir du confinement en évitant la promiscuité du centre-ville, mais La liampre ne reflète pas une image particulièrement bucolique du vallon rivois.
Article de J.M.B sur le dauphiné libérer